Les ouvertures sont des points d’interrogation de tout bâtiment quand il s’agit de l’isolation thermique. L’investissement dans un équipement qui empêche ces pertes peut être couteux mais cela vaut le coût, ce remède est à considérer depuis le départ des travaux.
Calfeutrer et isoler:
Le calfeutrage des ouvertures est le premier procédé à considérer pour augmenter l’efficacité de l’isolation thermique d’une demeure parce qu’il est le plus économique.
L’isolation des fenêtres apporte des bienfaits importants et peut se réaliser de certaines techniques :
- le double vitrage se fait pour mettre au lieu de la vitre d’origine, un panneau composé de deux vitres fixées dans un cadre qui permet le passage d’air entre elles ;
- le survitrage est la remède la plus facile et non coûteux, doublez la vitre d’origine avec une autre mise dans un petit cadre.
La première solution est la plus efficace mais la plus coûteuse, elle garantie une bonne isolation thermique et une protection acoustique parfaite quand la profondeur de la baie vitrée le permet.
Les accès, qui sont mal faits plus fréquemment que les ouvertures, posent un problème notamment au niveau du seuil. Le calfeutrage doit être ajusté selon le revêtement du sol et l’espacement entre bas de porte et le sol.
Les fissures qu’on trouve prés des huisseries et aux chemins de tuyauteries passant par un mur extérieur, un sol ou un plafond doivent obligatoirement être colmatées.
Ventilation:
Dans un bâtiment bien calfeutré, l’aération est indispensable pour limiter la condensation de vapeur d’eau qui affaiblit les matériaux et baisse la résistance thermique des locaux. L’isolation entière d’un logement doit donc essentiellement contenir une mise aux normes en matière d’aération car cette dernière n’est pas complète dans ce cas.